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Portage

Accession number: 
1943.0006
Production Years: 
1943 to 1947

Languages:

Film Properties: 
Length (feet): 
770 (16mm)
Length (minutes): 
20
Holding Institutions: 

Library and Archives Canada: 16mm, VHS, digibeta.
"The film is introduced with the card: 'The Waterways of Canada are trade routes'. After a short introduction emphasizing the importance of Canada's rivers for transportation and trade, the film focuses on the early fur trade. It explains the trapping process and the moving of furs from western Canada to Montreal. Matt Bernard, an Algonquin Indian chief, his son Maurice and his wife, demonstrate the traditional method of building a birch-bark canoe, detailing each step required and using only tools which would have been available to the Indians at the time of the fur trade. Upon completion of the canoe, the film details its voyage to Montreal, through portages and over rapids."

Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Centre d'archives de Québec, Québec: 16mm.
"Le film met en relief le rôle primordial qu'ont joué nos cours d'eau dans le développement économique du pays. Il décrit également la méthode de construction du canot d'écorce qui, depuis l'époque de la traite des fourrures jusqu'à nos jours, n'a rien perdu de sa popularité."

Bibliography: 

"Canada from Sea to Sea [NFB advertisement]," Film News (February 1950): 2.
"The importance of fur trade in North American history. Essential to this trade was the light, swift canoe, for shallow streams. The making of a portage is re-enacted. An Indian craftsman builds a canoe. The two sequences are also available separately, as follows:
Trappers and Traders 10 min. Color; Rental $4; Sale $90
The Indian trapper in snowshoes tours his trap line. Traders paddle fur-laden freight canoes downstream to Montreal and return with supplies for trading. Recommended for American History Classes.
How Indians Build Canoes 10 min. Color; Rental $4; Sale $90 B & W: Sale $50
An Algonquin Chief and his wife fashion a water-tight canoe from birch bark, cedar, and spruce."

Gouvernement du Québec: Ministère des Communications, Direction générale du cinéma et de l’audiovisuel, Catalogue des films d’archives, volume 1 (Québec: Éditeur officiel du Québec, 1976), 119.
"Ce beau film en couleurs met en relief le rôle primordial que jouent nos cours d'eau dans l'économie du pays. On y évoque le temps où les trappeurs des postes éloignés de la Baie d'Hudson devaient transporter leurs fourrures à Montréal, pour y être chargées sur des navires marchands européens. Le voyage long et pénible, entrecoupé de nombreux portages, s'effectuait en canot d'écorce."

Service de ciné-photographie de la province de Québec, Films 16mm: édition 1956-57 (Quebec City: Service de ciné-photographie, 1956), 334.
"Ce beau film en couleurs met en relief le rôle primordial que jouent nos cours d'eau dans l'économie du pays. On y évoque le temps où les trappeurs des postes éloignés de la Baie d'Hudson devaient transporter leurs fourrures à Montréal, pour y être chargées sur des navires marchands européens. Le voyage long et pénible, entrecoupé de nombreux portages, s'effectuait en canot d'écorce.
Le film décrit la construction du canot d'écorce selon la tradition indienne. Enfants de la nature, les indiens puisent dans celle-ci non seulement le matériel nécessaire à la fabrication du canot, bois, écorce, racines, gomme, mais aussi l'outillage nécessaire, marteau, couteau, cheville, halène. Léger et solide, le canot d'écorce n'a rien perdu de sa popularité. Les amateurs de pêche, de chasse ou de canotage ne sauraient s'en passer."