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L'Industrie du homard aux Îles-de-la-Madeleine

Accession number: 
1949.0014
Alternate Titles: 
The Lobster Industry of the Magdalen Islands
English version
Production Years: 
1948 to 1949

Languages:

Film Properties: 
Length (feet): 
712 (16mm)
Length (minutes): 
20
Holding Institutions: 

Library and Archives Canada: 16mm.
"A film about lobster fishing off the Magdalen Islands. Shots of fishermen repairing nets, lines, and traps; baiting traps; going out to sea in small dories and setting their traps; checking the catch to make sure the lobsters are of legal size; cleaning and processing the lobsters in the local factory; transporting live and packaged lobsters to the marketplace."

Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Centre d'archives de Québec, Québec: 16mm.
"La pêche est la principale industrie des Îles-de-la-Madeleine. De mai à juillet, c'est la saison du homard. Les cages, fabriquées ou réparées pendant l'hiver, sont descendues au fond de l'eau. Le homard, trié sur le quai par les inspecteurs du département des pêcheries, est expédié vivant ou mis en conserve dans une des 9 usines de l'archipel."

Bibliography: 

Gouvernement du Québec: Ministère des Communications, Direction générale du cinéma et de l’audiovisuel, Catalogue des films d’archives, volume 1 (Québec: Éditeur officiel du Québec, 1976), 50-51.
"L'archipel sablonneux des Îles-de-la-Madeleine abrite un vaillant peuple d'Acadiens qui ne connaît qu'un maître : la mer, qu'une industrie : la pêche. De mai à octobre, hareng, maquereau, homard, morue ou éperlan, dont le pêcheur madelinot tire sa subsistance, sont exportés vivants ou préparés dans les conserveries de l'endroit. La pêche au homard, permise du 10 mai au 10 juillet, est la principale industrie de l'archipel. Les cages, fabriquées ou réparées pendant l'hiver, sont descendues au fond de l'eau. Au retour de la pêche, le homard est trié sur le quai par les inspecteurs du département des pêcheries. Environ les deux-tiers sont mis en conserves à la homarderie ; le reste est expédié vivant. Les Îles-de-la-Madeleine sont dotées de neuf homarderies modernes, dont six fonctionnent sur le plan coopératif. La mise en conserve proprement dite se fait d'une façon méthodique et, comme toutes les autres opérations, elle est régulièrement surveillée par un inspecteur. La manipulation, comme on peut l'observer, se fait avec beaucoup de soin et de propreté. Le consommateur est assuré d'un produit sain auquel on a gardé toutes ses qualités nutritives, ce qui a valu aux conserves des Îles-de-la-Madeleine d'être placées parmi les plus réputées."

Service de ciné-photographie de la province de Québec, Films 16mm: édition 1956-57 (Quebec City: Service de ciné-photographie, 1956), 347, 379.
"L'archipel sablonneux des Îles-de-la-Madeleine abrite un vaillant peuple d'Acadiens qui ne connaît qu'un maître : la mer, qu'une industrie : la pêche. De mai à octobre, hareng, maquereau, homard, morue ou éperlan, dont le pêcheur madelinot tire sa subsistance, sont exportés vivants ou préparés dans les conserveries de l'endroit. La pêche au homard, permise du 10 mai au 10 juillet, est la principale industrie de l'archipel. Les cages, fabriquées ou réparées pendant l'hiver, sont descendues au fond de l'eau. Au retour de la pêche, le homard est trié sur le quai par les inspecteurs du département des pêcheries. Environ les deux-tiers sont mis en conserves à la homarderie ; le reste est expédié vivant.
Les Îles-de-la-Madeleine sont dotées de neuf homarderies modernes, dont six fonctionnent sur le plan coopératif. La mise en conserve proprement dite se fait d'une façon méthodique et, comme toutes les autres opérations, elle est régulièrement surveillée par un inspecteur. La manipulation, comme on peut l'observer, se fait avec beaucoup de soin et de propreté. Le consommateur est assuré d'un produit sain auquel on a gardé toutes ses qualités nutritives, ce qui a valu aux conserves des Îles-de-la-Madeleine d'être placées parmi les plus réputées."

Comments: 
Anna B. Montreuil: translation.